Nous distribuons en direct nos cartouches rechargées mais aussi toutes les cartouches d’encre à la marque et compatibles dont vous pouvez avoir besoin.
Nous conseillons et fournissons des imprimantes, multifonctions et copieurs neufs ou reconditionnés garantis.
Par ailleurs, nous vendons du papier, papier photo, piles USB, cutter de sécurité, carnets fantaisie, matériel de nettoyage de bureau (bombe d’air sec, lingettes désinfectantes pour téléphones …) et du matériel de sauvegarde de données (clefs, disques durs, clouds). Nous sommes en mesure de créer vos tampons encreurs !
Demandez Alex, Thibaud, Arinha, Yvan ou Jonathan, c’est la garantie que vous êtes bien chez…KERink et pas ailleurs !
1 boutique au 21 rue d’antrain.
1 boutique au 16 rue tronjolly.
1 atelier laser au 16 passage du trégor.
Et toujours la possibilité de vous faire livrer !
Plan et horaires d’ouverture.
En Mars 2005, nous avons démarré notre activité rue d’antrain.
En 2009, nous avons ouvert une deuxième boutique rue tronjolly et un atelier laser au passage du trégor.
En 2014, nous avons décidé de créer notre propre enseigne KERink, pour marquer notre volonté de pérenniser la production en local de nos consommables. C’est ce qui rend UNIQUE l’offre de KERink aujourd’hui.
Nos clients viennent soit en boutique, soit se font livrer !
Demandez un accès « Pro » au site internet et passez vos commandes en ligne.
Lorsque nous ne vendons pas des cartouches à la marque, nous nous engageons à vous garantir la même qualité !
Enfin, pour des raisons éthiques, nous nous efforçons à ce que plus de 80% de notre chiffre d’affaires soit issu de la revalorisation des cartouches jet d’encre ou laser (produites dans nos ateliers à Rennes, depuis 2005, c’est 100 tonnes de déchets évités).
Émissions radio et vidéo de présentation !
Témoignage du gérant sur notre participation aux Trophées du Commerce :
Dans le cadre de la COP21, la radio France Bleu Armorique donne quelques conseils pour réduire son impact environnemental ! Bien entendu, faire recharger ses cartouches chez KERink en fait parti !
Cette interview du gérant de KERink Rennes est pour nous une excellente occasion de vous présenter plus en détail notre activité, notre histoire, notre équipe … Bonne écoute !
Témoignages, enquête de satisfaction …
- Je vous ai recommandé auprès de mes voisins, ils sont revenus satisfaits
- Très satisfaite de l’accueil lors d’appel téléphonique, de la compétence et réactivité lors d’un SAV, rapidité de délais de livraison. Merci
- Merci pour votre accueil, et surtout vos conseils et dépannage très appréciables.
- Très bon accueil et conseil de par le personnel du magasin. Efficacité et rapidité.
- J’ai toujours été très bien conseillé.
Plus de témoignages et d’informations sur cette enquête : ici
KERink : Sébastien, vous travaillez au sein de l’entreprise Rennes Motos depuis plusieurs années. Racontez nous brièvement l’histoire de Rennes motos.
Sébastien : Rennes motos est spécialiste en vente de motos d’occasion. Nous sélectionnons, révisons et garantissons les motos que nous mettons à la vente : environ 600 à 700 par an. Nous exerçons cette activité depuis 1999, date de création de la structure. Nous sommes une équipe de 5 personnes dans ces locaux.
KERink : J’allais y venir… vous êtes installés temporairement depuis peu de temps au 14 rue du manoir Sévigné, route de Lorient à Rennes. Pouvez vous nous expliquer pourquoi ?
Sébastien: En effet, nous avons déménagé récemment car dans la nuit du 11 au 12 Décembre 2015, nos locaux historiques sur le bord de la route de Lorient ont brulé emportant dans les flammes les 150 motos que nous avions en stock, tout le bâtiment et nos projets de développement…
KERink : Quels ont été les conséquences immédiates pour vous ?
Sébastien : Passé l’effroi, les tracasseries administratives, il a fallu faire face. Nous nous sommes organisés avec l’équipe pour remonter au plus vite l’activité : un vrai challenge que nous avons relevé en trois mois « chrono». Nous venons de ré-ouvrir dans des locaux provisoires et les clients sont au rendez-vous.
KERink : Que retenez vous de cette expérience ?
Sébastien : La réouverture aurait été facilité si nous n’avions pas perdu une partie de nos données commerciales, fournisseurs… Nous avons perdu beaucoup de temps et d’énergie à collecter les factures fournisseurs, les factures clients afin de reconstituer nos stocks, nos ventes pour les assurances notamment.
KERink : Vous voulez dire qu’elles n’étaient pas sauvegardées ?
Sébastien : Si bien sûr, nos données étaient sauvegardées en partie par nos fournisseurs de logiciels métier et sur notre serveur. Si la totalité de nos données avait disparu, nous n’aurions pas pu reprendre l’activité. Nous avions une copie supplémentaire sur un disque dur externe. Il se trouve que le soir de l’incendie, le disque dur est resté branché sur le serveur… il a brulé avec ! Alors que régulièrement nous emportions le disque dur avec nous le soir… mais pas ce soir là malheureusement !C’est pourquoi, lorsque vous m’avez présenté votre solution de Cloud Breton, j’ai écouté avec une oreille attentive !
KERink : En effet, multiplier les sauvegardes sur des supports et à des endroits différents est essentiel. Eviter au maximum l’intervention humaine – source d’erreurs – est une autre priorité. Conscient de cela, KERink a développé une offre de Cloud basé en Bretagne et hébergé dans des datacenters sécurisés. Outre la proximité de l’hébergement, le service est lui aussi local et c’est important d’avoir un interlocuteur identifié, joignable et disponible pour la sauvegarde de vos données importantes.
Sébastien : Si je suis un professionnel de la moto, je laisse aux spécialistes en informatique le soin de gérer ces sujets. Ce que je constate, c’est que KERink est venu définir avec moi les données sensibles à sauvegarder, que celles-ci ont été copiées et transmises le jour même au datacenter après que le paramétrage de la sauvegarde journalière a été effectué. Des alertes seront envoyées en cas de dysfonctionnement du service et les données me seront restituées sur simple demande. Voilà un sujet classé et géré… on peut maintenant se concentrer sur notre business avec une inquiétude en moins !
KERink : Il est vrai que sans avoir vécu un incendie ou tous autres sinistres ( vol, inondation, casse matériel….), on n’est pas amené à se poser la question de la sauvegarde externalisée. C’est souvent jugé comme accessoire. Grâce à votre témoignage on comprend mieux les enjeux liés à la nécessaire protection des données d’une entreprise et à la nécessité d’anticiper. Merci Sébastien.
En savoir plus sur notre offre de sauvegarde en ligne : ici
Utilisateur de cartouches rechargées à titre personnel et professionnel depuis plusieurs années.
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Professionnel de l’intérim depuis de nombreuses années, j’ai crée avec un associé un réseau d’agences d’interim sur l’Ouest de la France. Depuis peu de temps, j’ai réorienté mon activité vers l’assistance technique à maîtrise d’ouvrage dans les secteurs pétroliers, industriels, énergétiques et BTP à l’international.
Comment en êtes vous venu à utiliser des cartouches rechargées ?
En tant que dirigeant, ma priorité est d’être performant et pertinent sur mon activité, mon coeur de métier afin de satisfaire mes clients et d’assurer la pérennité de mon entreprise.
Cependant, mon expérience me pousse à ne pas négliger des aspects pouvant être jugés périphériques qui visent à optimiser les process, l’organisation, les achats…
Je me suis penché – entre autre – sur les coûts d’impression de la société et sur la question de la gestion des déchets générés par mon entreprise.
Les leviers d’économie sont nombreux, pourquoi vous focaliser sur ces deux thèmes ?
Les axes sont multiples certes. Dans mon domaine, nous générons une grande quantité de papiers (impressions des contrats, facturation…) et il semblait que ces couts d’impression restaient incompressibles de mois en mois et qu’ils augmentaient continuellement. Par ailleurs, avec un réseau de 30 agences, nous générions des déchets informatiques ( cartouches d’encre laser vides ) dont nous ne savions que faire une fois rapatriées au siège. En même temps, un certain nombre de nos clients du bâtiment notamment, nous demande d’être certifié du point de vue environnemental.
Comment avez vous procédé pour répondre à ces deux attentes ?
A propos de l’optimisation des couts d’impression, j’étais assez pessimiste car j’utilisais des cartouches d’encre à la marque (au prix fort !) par nécessité ayant remarqué -pour avoir fait des tests – que les cartouches dites « compatibles » ne faisaient pas l’affaire.
Du point de vue des déchets, c’était plus simple car j’ai trouvé des sociétés de collecte de cartouches d’encre et je n’avais pas encore sollicité mon fournisseur que se devait de m’en débarrasser en tant que professionnel de la vente de cartouches d’encre. Donc pour moi, cette question n’en était pas vraiment une.
Quel a été l’élément déclencheur ?
Une rencontre !
Il se trouve que dans mon réseau proche, j’ai entendu parler de la société KERink à Rennes spécialisée dans le domaine de la recharge de cartouches d’encre. Très réticent à cause de mon expérience avec les cartouches d’encre compatibles, j’ai fait rapidement l’amalgame et ne suis pas allé plus loin. Jusqu’au moment ou j’ai rencontré le fondateur. J’ai été convaincu par le personnage et me suis laissé tenter au moins dans un premier temps à titre personnel pour mon imprimante à la maison. J’ai été très agréablement surpris à l’usage des cartouches jet d’encre rechargées car je n’ai pas vu de différence en terme de qualité et j’avais l’impression que mes cartouches rechargées duraient plus longtemps… sans compter que cette fois… la facture était très allégée… (le technicien m’a avoué plus tard qu’il rechargeait mes cartouches d’encre en ajoutant quelques ml d’encre en plus !).
Vous êtes alors passé « à la vitesse supérieure » en adoptant cette solution pour votre entreprise ?
Une fois passée cette « barrière psychologique », j’ai testé les services de KERink au sein de ma société. Rien pourtant n’assurait que cela fonctionne car cette fois, il s’agissait de recharger des cartouches d’encre toner laser. J’ai du faire face à la réticence de quelques collaborateurs échaudés par les expériences passées.
La pression de nos clients du bâtiment pour que nous soyons certifiés MASE m’a convaincu de tester et de mettre en place au plus vite cette solution car nous répondions de fait à nos deux impératifs du départ : économie et démarche écologique.
Le test s’est fait à grande échelle sur l’ensemble de nos agences. Tout en prônant la réutilisation, nous n’avions plus à gérer ces déchets, nous répondions sur ce point aux exigences de la certification en nous faisant en plus gagner du temps.
Vous faisiez références aux réticences du personnel ? qu’en a-t-il été par la suite ?
Une fois que les utilisateurs ont eux même dépassé leurs réticences et testé la réactivité de KERink en cas de problème, le principe de la réutilisation, au même titre que le geste simple qui consiste à fermer la lumière lorsqu’on sort du bureau, ou de penser à éteindre son PC le soir venu avant de quitter le travail, est rentré dans les moeurs. Je pense que ce thème de l’éco-responsabilité est fédérateur au sein d’une entreprise et touche tous nos états de vie.
Comment la recharge de vos cartouches d’encre a participé à votre certification ?
Les obligations liées à la certification MASE sont multiples. Elles nous amènent à réfléchir sur la question de savoir comment travailler mieux tout en étant en phase avec plus d’éco-responsabilité.
Les thèmes sont variés et la question des déchets liés à l’impression se posait. KERInk est en mesure de nous fournir des certificats attestant de la réutilisation de nos cartouches vides. Cette initiative nous permet de compléter utilement la liste des initiatives prises par l’entreprise en faveur de l’environnement et contribue pleinement à l’obtention de notre certification. Cette dernière nous ouvre des perspectives commerciales nouvelles. Ce dont nous nous réjouissons bien évidemment.
En somme quel bilan faites vous de cette expérience ?
Comme il doit ressortir de cette interview, le bilan est très positif et sur plusieurs plans :
Nous avons évoqué l’économie, la préservation de l’environnement, le cadre de la certification et les conséquences positives du point de vue commercial mais aussi des points non abordés et pourtant, tout aussi importants :
– Favoriser les initiatives locals et participer au développement d’une entreprise locale et de l’emploi de proximité. C’est notre responsabilité dans le cadre du développement durable et sociétal.
– Bénéficier d’un service après vente de proximité, d’une réactivité optimale en conséquence.
– Réduire les délais, les frais de transport et les kilomètres parcourus.
– Avoir de nouveaux vecteurs de communications en interne et en externe.
– L ‘enjeu réside dans le fait de trouver le BON partenaire pour assurer la recharge de ses cartouches d’encre. Car il semble que de nombreuses initiatives voient le jour dans ce domaine d’activité mais que peu d’entre elles résistent. En effet, il s’agit d’un métier technique d’artisan spécialisé. Le savoir faire est spécifique et la fabrication est Rennaise. Dans ma région, plusieurs entreprises se sont créées et une seule a résisté, il se trouve que c’est mon fournisseur actuel… Parfois le hasard fait bien les choses !
Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?
Venant du monde de la parfumerie en tant que commercial international grand compte, je me suis intéressé au domaine du consommable informatique et plus particulièrement de la recharge de cartouches d’encre. C’est une quête de sens qui m’a amené à tout quitté pour m’installer en Bretagne avec ma famille et créer ma propre société Encre & Co Eurl. Désirant créer ma propre enseigne afin d’enraciner mon activité en local, j’ai crée l’enseigne KERink depuis 2014. En effet, l’essentiel des produits que nous vendons sont fabriqués à Rennes. C’est unique dans la région !
Que voulez vous dire par quête de sens ?
C’est très simple, il n’y a pas plus subjectif qu’une création parfumée : le limite entre le « j’aime / j’aime pas » est très différentes entre vous et moi, entre vous, moi et les autres… Par ailleurs, lancer un parfum est une chose passionnante mais au final, que cela apporte-t-il au monde si ce n’est un plaisir éphémère et futile !
Le milieu artisanal – ou l’on crée soi-même de ses mains, ou le résultat du travail est binaire – m’attirait. Dans la domaine de la cartouche d’encre rechargée, soit le travail est fait correctement et ça marche, soit non et il faut trouver une solution. On est dans du « super » concret. C’est reposant !
Faire par moi-même et avoir la satisfaction immédiate du travail bien fait, ont été mes premiers objectifs. La recharge de cartouches d’encre présente pour moi un troisième intérêt non négligeable : la préservation de l’environnement.
Recharger des cartouches d’encre plutôt qu’en racheter présente l’intérêt de promouvoir un geste « intelligent » en vendant un produit et un service qui ne l’est pas moins pour nous et les générations futures. Cela représente une goutte d’eau mais c’est ma contribution. De plus, notre savoir faire unique nous permet de recharger plus de 1300 références de cartouches d’encre différentes. Et ce chiffre ne cesse d’évoluer à mesure que de nouvelles cartouches sortent sur le marché.
On comprend mieux les causes, pourquoi le secteur des cartouches d’encre en particulier ?
Plusieurs constats m’ont amené à me pencher sur ce secteur :
Premièrement, des millions de cartouches d’encre pour imprimantes, fax et photocopieurs sont achetées et utilisées mais un très faible pourcentage est réutilisé. Que de déchets créés et de matière utilisée et perdue sans parler de l’impact sur l’environnement !
Deuxièmement, le taux d’équipement des ménages en matériel informatique est en constante progression et le phénomène lancé par les fabricants qui consiste à distribuer des imprimantes multifonctions plutôt que de simples imprimantes, multiplie les raisons d’utiliser son imprimante à domicile (photocopier, scanner, imprimer des photos…). Le potentiel est donc grandissant.
Enfin, un ami père de famille, chef d’entreprise, conseillé municipal et actif dans diverses associations m’a fait part de l’existence de cette solution de recharge de cartouches d’encre dans sa ville. Or, après avoir adopté la recharge de cartouches d’encre pour son propre compte en tant que particulier, m’a dit avoir adopté cette solution dans toutes ses autres activités professionnelles, municipales et associatives. Cela m’a laissé rêveur !
Pour revenir à l’aspect environnemental, concrètement comment évaluer l’impact ?
Quelques chiffres si vous voulez bien :
KERink recharge plus de 29000 cartouches d’encre par an (toutes cartouches confondues jet d’encre et toner laser). Cela représente depuis notre installation à Rennes plus de 80 tonnes de déchets évités à la nature et à nos décharges publiques. Et je passe tous les déchets « ultimes » que nous récupérons (cartouches d’encre non rechargeables), les déchets que nous générons (toners usagers, pièces d’usures…) qui sont traités dans des circuits agrées de traitement de déchets spéciaux.
Une cartouche jet d’encre se recharge à qualité égale entre 2 et 10 fois selon les caractéristiques de la cartouche en question, entre 1 et 5 fois pour une cartouche laser. Alors que ces même cartouches étaient à l’origine destinées à un usage unique. Que d’énergie gaspillé ! il faut savoir qu’un toner utilise lors de sa fabrication 3.5 Kilogrammes d’énergie et autant pour sa destruction. C’est considérable non ? Enfin, les constituants d’une cartouche d’encre (plastiques, métaux…) sont potentiellement très polluants dans la nature et pour des centaines d’années.
KERink est fier d’annoncer que plus de 70% de son chiffre d’affaires est issu du recyclage de cartouches d’encre effectué localement à Rennes dans ses ateliers. Outre l’environnement, nous privilégions l’emploi local et avons crée 6 emplois à temps plein et contribué à la formation d’une bonne demi-douzaine de jeunes alternants supplémentaires.
L’aspect local semble important pour vous ?
C’est primordial ! Les compétences sont présentes à notre porte, les clients ne sont pas au bout de la France, mais à notre porte. Nous travaillons en circuit court. Créer du lien en local et contribuer au tissus économique local en travaillant local, consommant local permet de s’enraciner et de créer du lien localement tant dans les relations avec nos clients, qu’avec nos partenaires ou fournisseurs. Nos clients redécouvrent l’intérêt d’un service de proximité, d’une relation de confiance dans la durée. La contrepartie est que nous sommes au service de nos clients et garants de la qualité de nos produits car c’est nous qui les fabriquons. On ne peut se défausser sur tel ou tel fournisseur et cela nous permet de proposer une SAV de qualité et réactive.
Dans le domaine du consommable, les cartouches d’encre d’origine mais aussi les cartouches d’encre compatibles ou de marque distributeur sont fabriquées en Asie ou dans les pays de l’Est. Outre le bilan carbone très mauvais, nous connaissons trop bien le contexte social dans lequel ces cartouches d’encre sont fabriquées. Distribuer ces cartouches revient à encourager des pratiques parfois douteuses.
Produire à Rennes les cartouches de nos clients du bassin Rennais, cela prend tout son sens !
Comment définiriez vous votre métier ?
Comme évoqué, nous sommes des artisans détenteurs d’un savoir faire particulier et très technique. Cette technique est le coeur de notre métier pour les raisons évoqués de qualité de produits. Nous sommes dans une démarche de transmission du savoir entre les anciens et les nouveaux collaborateurs car il n’existe pas de centre de formation dans notre domaine. L’apprentissage est assez long et nécessite un parcours de formation en interne assez poussé.
Toutes ces composantes spécifiques à notre métier additionnées à l’intérêt du produit lui-même évoqué tout à l’heure, font de notre métier une activité à part et particulièrement intéressante pour qui cherche un sens à son activité professionnelle.
Enfin, comment vous définiriez-vous par rapport à vos concurrents ?
C’est simple, nous n’avons pas de véritable concurrent sur le bassin Rennais. A ma connaissance, aucun distributeur ne fabrique les cartouches comme nous le faisons. Nous sommes des « irréductibles » de la recharge de cartouches d’encre et des promoteurs de la réutilisation. Les distributeurs sur la place se cantonnent à acheter des cartouches d’encre d’origine ou pire – compatibles – et à les revendre en prenant une marge au passage. Personnellement, cette perspective ne me plaît pas par rapport à l’évocation de ma quête de sens, ni du point de vue professionnel car cela n’apporte aucune valeur ajoutée au produit et au client final. c’est une des raisons qui m’ a poussé à prendre mon indépendance vis à vis de mon ancien franchiseur. Le prix est alors la priorité trop souvent au détriment de la qualité.
Nos récompenses (prix obtenus, qualifications …) !